"Ce que ne devrait sans doute pas
faire une cible qui découvre son
harcèlement, est d’essayer de
convaincrec ceuxqui pensent que
ça n’existe pas .
Le risque étant de se retrouver
dans un service de psychiatrie
avec un diagnostic de
schizophrénie ou de délire .
Les associations de défense des
droits de l’humain préconisent
donc une communication avec les
associations spécialisées pour
faire le point et obtenir des
conseils (NP il en existe beaucoup
aux Etats Unis et en Russie car il y
a des lois, en France très peu.)
Comme je l’ai indiqué le point
principal de ce type de
harcèlement est de vous entrainer
à appeler sans cesse la
police pour des faits difficiles à
prouver .
Cela risque de vous envoyer chez
un psychiatre qui n’écoutera pas
ce que vous avez à dire ou ce que
vous expliquez, il se contentera de
faire un diagnostic de problème
mental .
Une fois que ce diagnostic de
maladie mentale a été établi, la
police ne répondra plus à aucune
des plaintes portées."
N.P.
Certains psychiatres connaissent
le sujet et en tiennent compte,
même en France.
Ce n'est pas pour cela qu'il faut
tomber dans l'immobilisme ; il faut
quand même transmettre
l'informatione et chercher à
trouver des solutions et surtout,
comme en tout persévérer même
si dans un premier temps tout
parait sombre.
Au cas où il s'agisse réellement de
ce style de problème, d'autres
questions se posent.
Quant à leur résolution, il vaut
mieux prendre son temps, et agir
intelligemment, pour ne pas se
mettre encore plus en danger
inutilement...
Mais lorsque l'on met à la
lumière des choses aussi
"confortables" pour ceux qui les
pratiquent, on ne peut pas
s'attendre à être félicité par tout le
monde, vivre en conscience, ce
n'est pas toujours facile.